Lorsque la société mandate la médecine pour promouvoir un accès le plus large possible des soins palliatifs aux patients, qu’ils soient atteints de maladie chronique, dans une situation de grand âge ou de fin de vie, cette dernière se doit de pouvoir compter sur une compétence maximale des soignants et des accompagnants.
Prendre soin reste un réel défi dans certaines situations.Il importe de pouvoir s’ouvrir à l’interdisciplinarité, à la réflexion éthique autour des thèmes touchant les rapports médecine, techniques, société, souffrance et mort.Ce sont aujourd’hui les conditions nécessaires pour rendre compte des processus décisionnels complexes, tenant compte de la singularité de la personne souffrante.