Le doctorat en langues, lettres et traductologie mène à la rédaction d’une thèse personnelle et originale qui s’inscrit dans les débats en cours en linguistique, en littérature et en traduction-interprétation. Un grand nombre de langues (anciennes et modernes, européennes et non-européennes), de multiples traditions culturelles, et des questionnements reliés aux problématiques actuelles, s’offrent aux étudiants qui choisissent d’entreprendre une thèse dans ce domaine.
Les chercheurs en langues, lettres et traductologie se répartissent principalement entre l’Institut des Civilisations, Arts et Lettres (INCAL) et l’Institut Langage & Communication (ILC). Diverses méthodes sont mises en œuvre (analyse descriptive sur corpus ; analyse interprétative ; analyse thématique ; approche contrastive ou comparée ; approche expérimentale ; etc.), et de nombreuses disciplines sont pratiquées (linguistique théorique ; histoire de la littérature, analyse littéraire, philologie, analyse du discours, sociolinguistique, traitement automatique du langage, etc.). Tous ces champs d’investigation ont donné lieu à un grand nombre de thèses.
Pendant la préparation de sa thèse, le doctorant suit une formation doctorale qui l’introduit aux discussions plus spécialisées dans son champ de recherche (participation à des colloques internationaux, séminaires spécialisés, écoles d’été ; séjours de recherche dans des universités partenaires ; publications d’articles dans des revues spécialisées, etc.).
Les Instituts de recherche lui fournissent un environnement favorable aux collaborations spécialisées et interdisciplinaires, et à des contacts formels et moins formels avec de nombreux chercheurs, débutants ou avancés, venus de nombreux pays.